• Nom: Grandia
    Plate-forme : PS et PS one
    Etat du jeu : Disponible
    Date de sortie française : 2 mars 2000
    30 septembre 1999 (USA) - 26 juin 1999 (Japon)

    Genre : Jeu de rôles
    Thème :Heroïc-fantasy
    Développeur : ESP
    Editeur : Ubisoft
     
    Peu représenté sur la console de nouvelle génération de Microsoft, le genre RPG se devait de trouver un digne représentant. Ce sont donc les développeurs de Tri-Crescendo, déjà responsables des excellents Baten Kaitos sur GameCube, qui se sont attelés à la tâche durant plusieurs mois.
     

    Résumé:Tout commence dans la petite ville calme de Parm. Vous incarnez Justin, un jeune garçon de 12 ans, qui, à l’instar de son défunt père, veut devenir aventurier. Et c’est pour cela qu’avec sa meilleur amie Sue, 10 ans, il s’amuse à fouiller le village en imaginant trouver des reliques anciennes (une casserole devient un casque, un bout de bois une épée, etc…). La mère de Justin lui apprend que le conservateur du musée veut lui rendre son pendentif, le pendentif que son père lui avait laissé et se nommant « la pierre d’esprit », qu’il avait prêter en vue d’une nouvelle exposition basée sur une civilisation disparue : Angelou. Cette même civilisation que convoitait le père de Justin. Ni une, ni deux, voici que nos deux compères se dirigent vers le musée. Le conservateur les accueillera devant une des statues de l’exposition. Nos deux jeunes héros apprennent que la statue vient des ruines qui se trouvent à proximité du village. Bien évidemment Justin décide d’y aller, entraînant avec lui la petite Sue qui ne veut jamais le quitter.  (Sue est orpheline, son oncle et sa tante s’en sont toujours occupés, néanmoins elle est constamment fourrée chez Justin.) Avec elle traîne toujours un drôle d’animal volant répondant au doux nom de Pouy et qui lui avait été donné par le père de Justin.

    Arrivé sur les lieux nos deux jeunes amis assistent à l’avènement d’une armée qui investie les ruines. N’écoutant que leurs courages et leurs curiosités, Justin et Sue arrivent à pénétrer au sein de l’édifice. A l’aide de la pierre d’esprit et après quelques batailles, ils arrivent dans une pièce secrète où une étrange jeune femme leur compte l’histoire des Icariens les habitants d’Angelou. Cette femme, Liete, leur donne rendez-vous dans le nouveau continent. Pour ce faire nos deux amis décident d’aller voir un vieil aventurier qui réside dans les mines par delà le chemin de fer. Après quelques péripéties, Justin et Sue reçoivent leurs titres d’aventuriers. Le jeune garçon ne veut pas entraîner sa jeune amie dans des périples plus dangereux et veut embarquer seul dans le bateau qui part vers le nouveau continent.

    Justin se retrouve à bord du bateau et s’aperçois rapidement que la petite Sue l’y a suivi. Les deux enfants sont repérés et pour ne pas être renvoyer à Parm ils vont devoir effectuer divers taches notamment laver le pont. En chemin, ils apprennent qu’un grand aventurier va monter sur le navire. Justin se précipite et se rencontre que cette personne est en réalité une fille, Feena, à peine deux ans plus âgée que lui. S’en suit une attaque du bateau par un navire fantôme envahi par un monstre marin. Feena se lance dans la bataille suivie par nos deux compères. Après leurs victoires les trois guerriers reçoivent les compliments de tous les passagers et de l’équipage. Feena invite Justin et Sue à venir chez elle afin de les aider à démarrer dans ce nouveau monde. Le navire arrive à New Parm la capitale du nouveau continent et l’aventure commence réellement pour Justin.

    Si vous voulez connaître la suite et fin de l’histoire jetez vous sur le jeu…

     


    source: gamekult.com


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  • Noms : Tales of Symphonia: Dawn of the New World
    Plate-forme : Nintendo Wii (Wii)
    Etat du jeu : En développement
    Date de sortie française : n/c
    Septembre 2008 (USA) - 26 juin 2008 (Japon)

    Genre : Jeu de rôles
    Thème : Heroïc-fantasy
    Appartient au groupe : Tales of
    Editeur : Namco Bandai Games
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    source: gamekult.com

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  • Nom: Tales of Symphonia
    Plate-forme : GameCube (NGC)
    Etat du jeu : Disponible
    Date de sortie française : 19 novembre 2004
    13 juillet 2004 (USA) - 29 août 2003 (Japon)

    Genre : Jeu de rôles
    Thème : Heroïc-fantasy
    Appartient au groupe : Tales of
    Multijoueur : 1 à 4
    Développeur : Namco
    Editeur : Namco
     
    Namco est parvenu en quelques années à devenir un outsider des plus intéressants dans le cercle très fermé des développeurs (à succès) de RPG. Entre Square et Enix, devenus Square Enix, le petit Namco tire toujours son épingle du jeu avec sa série des "Tales of", dont le dernier volet vous est présenté aujourd'hui avec tous les honneurs qui lui sont dus. Le passage entièrement en 3D de cette dernière grande saga en 2D a-t-il altéré la qualité intrinsèque du titre ? Une question qui appelle une réponse d'environ dix mille signes, et qui fait suite à cette petite intro des plus banales mais ô combien lucrative.
     
    Résumé: "Il était une fois un arbre géant qui était la source du mana. Mais une guerre le fit flétrir et le vie d'un héros fut sacrifiée pour le remplacer. Peinée par sa perte, le déesse disparut dans les cieux. Elle ordonna aux Anges: <<Vous devez me tenir éveillée car si je dors, le monde sera détruit>>. Les anges portèrent l'Elu, qui se dirigea vers la tour qui montait aux cieux. Et cela marqua le début de la régénération du monde."
    On y retrouve deux civilisations qui cohabitent plus que péniblement. Les premiers sont les êtres humains comme vous et moi, qui sont les alliés des nains caricaturaux et des elfes à gros seins. De l'autre côté, c'est le peuple des Desians. Et c'est bien d'eux que viennent tous les problèmes. Possédant une culture et une technologie très supérieure à celle des gens "normaux", ils les entreposent et les exploitent, et ce sans le moindre souci éthique quelconque. On ne sait pas vraiment ce qu'ils font de tous ces humains, mais toujours est-il que les Desians n'en ont plus pour très longtemps. En effet, la prophétie est sur le point de se réaliser, la nouvelle incarnation de la fille des dieux ayant enfin été identifiée. C'est grâce à elle que le monde sera régénéré. Mais pour l'instant, la jeune fille intelligemment baptisée Colette devra traverser les continents en faisant fi du danger, afin de pouvoir pactiser avec tous les éléments. Devenir le meilleur pote de l'esprit de l'eau, de la terre, du feu et du vent étant le passage obligé pour permettre aux divinités de la transformer en ange. Une fois devenue elle-même créature céleste, elle redonnera ainsi force à l'élément vital de notre planète, à savoir le Mana. Ses deux meilleurs amis, Lloyd et Genis, se retrouveront à ses côtés pour ce long et périlleux voyage qui réservera un lot assez conséquent de révélations et autres retournements de situations.
     
    Mon avis: Pari réussi pour Namco qui nous offre là un des meilleurs RPG de l'année, et sur une console qui n'en est que trop peu pourvue qui plus est. Le charme fou des graphismes allié à la longueur du jeu et la liberté d'action sont déjà des arguments suffisants pour se procurer le jeu si vous êtes fans, surtout lorsque l'on regarde le nombre de titres du même genre en Europe. Mais le système des combats, encore plus dynamique et galvanisant que sur les autres volets, éclate le dernier bastion de réticence que vous auriez pu avoir à l'encontre de ce titre. On pourra regretter que les situations soient assez convenues, et ce malgré des personnages forts, très caractérisés et surtout fort attachants, l'une des marques de fabrique de la série. Traduit avec beaucoup de soin en notre belle langue, le jeu ne laisse cependant pas le choix entre les voix américaines ou bien japonaises, si chère au coeur des puristes. Ne boudons cependant pas notre plaisir pour si peu, et fonçons sur ce titre d'une qualité trop rare en nos contrées. Un hit, capable de convertir les plus réticents au genre RPG qui, on le rappelle, ne se cantonne pas qu'à Final Fantasy. Un must !
     
    Si les musiques du jeu vous ont séduites vous pourez les télécharger en cliquant sur ce lien:
    (il vous suffit de faire un clic droit sur le titre et de cliquer sur "enregistrer la cible sous...")

    L'intro Japonaise:
    L'intro Française:
     
     
    source: gamekult.com
     

     


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  • Nom: Eternal Sonata
    Plate-forme : Xbox 360 (X360)
    Etat du jeu : Disponible
    Date de sortie française : 19 octobre 2007
    17 septembre 2007 (USA) - 14 juin 2007 (Japon)

    Genre : Jeu de rôles
    Multijoueur : 1 à 3 en coop
    Multi offline (en local) uniquement
    Développeur : tri-crescendo
    Editeur : Namco Bandai Games
     
    Peu représenté sur la console de nouvelle génération de Microsoft, le genre RPG se devait de trouver un digne représentant. Ce sont donc les développeurs de Tri-Crescendo, déjà responsables des excellents Baten Kaitos sur GameCube, qui se sont attelés à la tâche durant plusieurs mois.
     
    Résumé: Sur son lit de mort, le célèbre compositeur polonais Frédéric Chopin part pour un dernier voyage aux pays des rêves dans un univers coloré et fantaisiste. Il y fera d’étranges rencontres et décidera d’accompagner plusieurs jeunes enfants dans leur recherche de la dignité humaine et de la liberté. Un scénario classique dans le fond qui a le mérite d’apporter néanmoins une bonne dose de philosophie avec une histoire divisée en deux grands segments : le côté réaliste, avec la vie et la mort de Chopin, et le côté rêve avec le voyage du compositeur. Une trame qui permet d’aborder de nombreux thèmes, comme les limites entre réalité et fiction, mais aussi de soulever de nombreux sujets « tabous » d’une manière efficace et très propre. Ajoutez à cela une touche plus réaliste, avec des diaporamas qui nous permettent d’en découvrir plus sur la vie du compositeur, mais aussi sur les relations humaines qui nous sont présentées telles qu’elles le sont dans la vie réelle : à la fois pures et sincères, mais aussi égoïstes et mensongères.
     
    Mon avis: En ce qui concerne le gameplay, Tri-Crescendo a néanmoins opté pour quelque chose de nettement plus classique, avec une production assez linéaire dans l’ensemble, beaucoup de combats, énormément de cinématiques, des zones franches (les villages) et des affrontements qui se déroulent dans des zones fermées. En pratique, vous devrez donc évoluer en temps réel sur la carte, au travers de décors tout simplement sublimes et particulièrement enivrants regorgeant de détails mais aussi d’ennemis. D’ailleurs, l’opposant se mettra, à votre approche, à vous foncer dessus jusqu’à ce que la fenêtre se ferme pour vous emmener dans une « arène » où vous devrez le (ou les, s’ils sont plusieurs) affronter. Le système de jeu a été conçu de telle sorte que les débutants ne soient pas perdus dès le début. Les explications sont claires et si le système de combat évolue, vous en serez averti et on vous expliquera à chaque fois la marche à suivre.

    En pratique, le jeu oscille entre le tour par tour et le temps réel. Vous devrez donc commencer le tour en déplaçant votre personnage pour frapper l’ennemi en face en temps réel à la manière d’un beat them all, après quoi votre tour se terminera et ce sera alors à lui de vous attaquer. Evidemment le tout est bien plus complexe que ça puisque la stratégie sera de mise pour vraiment triompher de l’ennemi. Ainsi, vous devrez accumuler des points d’expérience pour évoluer et devenir plus fort, mais aussi enfiler le nouvel équipement acquis pour être plus efficace, planifier vos attaques pour ne pas perdre de temps, gérer votre énergie, choisir vos coups spéciaux et faire attention à l’ombre et à la lumière. Tri-Crescendo a en effet clairement mis en avant une jouabilité à deux temps qui change radicalement selon le fait que vous vous situiez dans une zone d’ombre ou dans une zone ensoleillée. Concrètement, certaines attaques ne sont disponibles que dans l’une de ces deux zones et les ennemis pourront changer d’apparence et d’attaque selon leur situation. Un plus indéniable qui apporte beaucoup de variété au gameplay.

    Je possède ce jeu et je le trouve très réussi. La cinématique de fin du jeu est absolument sublime, domage que le jeu soit si court. (fini en à peine 38 heures) 
     
     source: gamekult.com

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